Découvrez pourquoi les alarmes utilitaires classiques échouent et pourquoi le QGAZ 150 stoppe les voleurs en 10 secondes chrono.

Depuis dix ans, les statistiques de la gendarmerie et les témoignages d’artisans convergent : les techniques de cambriolage d’utilitaires ont radicalement changé.

Là où, autrefois, les voleurs forçaient grossièrement une serrure, ils emploient aujourd’hui des méthodes précises et rapides : perçage discret de barillet, ouverture par le toit, arrachement de porte latérale, ou encore intrusion par vitre arrière.

Ces approches, souvent inspirées des cambriolages de véhicules haut de gamme, sont exécutées par des équipes organisées.

Elles ciblent spécifiquement les camionnettes d’artisan, de préférence garées dans des zones peu éclairées ou laissées sur chantier la nuit.

Résultat : même avec une alarme classique, les voleurs repartent avec plusieurs milliers d’euros d’outillage en quelques dizaines de secondes.

Les systèmes d’alarme d'utilitaires de première génération reposent sur des détecteurs de mouvement et une sirène.

Problème : les voleurs savent que le bruit seul ne les blesse pas et que l’intervention de la police prend souvent plusieurs minutes.

Ils agissent donc en conséquence.

La variable clé est le temps. Si le système ne neutralise pas l’intrus dans les trente premières secondes, la perte est quasi certaine.

Une alarme utilitaire contre le vol d’outillage doit donc combiner détection et action incapacitante immédiate.

C’est là que les modèles classiques échouent : ils informent, mais n’empêchent pas physiquement le vol.

Un voleur rapide et déterminé n’est pas dissuadé par un simple bruit. Les artisans qui l’ont compris se tournent désormais vers des solutions antivol efficaces pour artisans capables de changer le rapport de force en quelques secondes.